Notre histoire
Un jour où je magasinais dans un bazar, j'ai découvert un ouvrage intitulé «Le Casier Postal à notre Cher Papa des Cieux». En le lisant, j'ai constaté qu'il rejoignait un de mes idéaux : la dévotion au Père Éternel sous forme de prières écrites. Son auteur, M. Roger Bonheur, avait eu la remarquable idée de le faire connaître aux autres en le publiant sous forme de livre accompagné d'une boîte postale dans laquelle nous pouvons déposer nos prières.
Après avoir pu entrer en contact avec lui, j'ai eu la chance de le côtoyer de 1993 à 1998. J'ai découvert en lui un homme bon, doté de la simplicité d'un coeur d'enfant. Par son attitude et ses écrits, il nous aide à redécouvrir l'ampleur de ce coeur d'enfant trop souvent perdu au fil des années. Suite à son décès, son oeuvre ne pouvait rester inachevée et devait continuer de se répandre. C'est alors que m'est venu le désir d'en assurer la continuité. J'ai donc contacté sa famille pour lui faire part de mon souhait, avec l'appui de mon époux, de mes fils et de mon accompagnateur spirituel. Ils ont accepté avec joie de me remettre les droits nécessaires à la poursuite de l'oeuvre.
Par la suite, je suis entrée en contact avec les Éditions Saint-Raphaël qui ont accepté de procéder à la publication. Après en avoir pris connaissance, l'éditeur a trouvé que c'était une merveilleuse idée. Quant au nom de la Fondation, je me suis inspirée du texte «La veuve de Sarepta», tiré de la Bible dans le livre des Rois, qui fait très bien le pont entre le Casier Postal et le message et qui raconte comment le Père répond à tous nos besoins dans sa divine providence. Après lui avoir remis nos prières, il pourvoit à tout.
Pierrette Rodrigue
Responsable
Après avoir pu entrer en contact avec lui, j'ai eu la chance de le côtoyer de 1993 à 1998. J'ai découvert en lui un homme bon, doté de la simplicité d'un coeur d'enfant. Par son attitude et ses écrits, il nous aide à redécouvrir l'ampleur de ce coeur d'enfant trop souvent perdu au fil des années. Suite à son décès, son oeuvre ne pouvait rester inachevée et devait continuer de se répandre. C'est alors que m'est venu le désir d'en assurer la continuité. J'ai donc contacté sa famille pour lui faire part de mon souhait, avec l'appui de mon époux, de mes fils et de mon accompagnateur spirituel. Ils ont accepté avec joie de me remettre les droits nécessaires à la poursuite de l'oeuvre.
Par la suite, je suis entrée en contact avec les Éditions Saint-Raphaël qui ont accepté de procéder à la publication. Après en avoir pris connaissance, l'éditeur a trouvé que c'était une merveilleuse idée. Quant au nom de la Fondation, je me suis inspirée du texte «La veuve de Sarepta», tiré de la Bible dans le livre des Rois, qui fait très bien le pont entre le Casier Postal et le message et qui raconte comment le Père répond à tous nos besoins dans sa divine providence. Après lui avoir remis nos prières, il pourvoit à tout.
Pierrette Rodrigue
Responsable